Il faut être un illuminé pour vouloir « écrire » avec une banale lumière, sans L majuscule, une lumière juste domestique : celle qui est produite par l’allumette, la bougie, la lampe de poche ou l’ampoule (basse consommation, en plus !). Autant se chercher, soi-même, des poux dans la tête !

Ceux qui croiront voir dans cette série « la part d’ombre d’un auteur questionnant son délire narcissique », sont encore plus fêlés que lui…

Et c’est tant mieux pour eux ! Comme l’a dit Michel Audiard : « Heureux les fêlés, car ils laisseront passer la Lumière » …